Les Européens et les Etats-Unis comptent faire monter la pression sur l’Iran cette semaine avec le possible vote d’une résolution à l’AIEA, sur fond d’impasse des négociations pour restaurer l’accord nucléaire de 2015.
Le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique a débuté lundi dans un climat fébrile: en cas d’adoption dans les prochains jours, il s’agirait du premier texte critique depuis juin 2020, signe de l’impatience grandissante des Occidentaux.
Car la République islamique s’affranchit chaque jour un peu plus de ses engagements nucléaires, tout en restreignant sa collaboration avec l’instance onusienne, chargée de s’assurer du caractère pacifique de son programme.